Ouf, pas facile d'être un thanatologue en 2013. Les images du passé demeurent encore bien ancrées dans nos esprits. Ce n'est pourtant plus comme c'était.
Oubliez le croque-mort dans Lucky Luke qui prend les mesures afin de confectionner un cercueil sur mesure. Oubliez le croque-mort Oscar Bellemare des Symphoriens, on n'a plus cette tête-là, j'espère.
Le thanatologue moderne doit être polyvalent.
Nous sommes maintenant des professionnels du deuil.
On se doit de tout savoir. Oui , nous devons connaître les produits tels les cercueils et les urnes, mais aussi jouer d'habileté avec des choses moins tangibles comme les rituels boudhistes, les signes d'un deuil compliqué ou les négociations avec une famille éclatée.
Notre tâche a évolué. De simples vendeurs, nous sommes passés à conseillers-facilitateurs.
Nous sommes présents avant, pendant et après. Voyez ce qu'en dit la Corporation des Thanatologues du Québec.
Mon nez n'est pas trop croche, je ne porte pas de redingote noire, pas plus qu'un chapeau haut de forme, alors n'hésitez pas à communiquer avec moi.
Idée tirée du blog A simple, village undertaker.
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